Informations fraiches et ensoleillées venues tout droit d'Italie...
Vendredi Les voyages en bus sont toujours fatigants, qui plus est lorsqu’ils durent plus de douze heures… Il est 8h49 lorsque nous arrivons enfin à Igea Marina. Après un petit-déj costaud, tout le monde est content de prendre une bonne douche, de défaire ses valises et de se reposer un peu. L’après-midi, les premiers entraînements commencent pour les valeureux athlètes : plage pour le gros des troupes et footing au parc pour les demi-fondeurs (qui ne peuvent jamais rien faire comme tout le monde). Le soir les repars sont copieux, c’est la fête aux pates, pizzas et glaces, et il est à parier qu’une fois encore certains d’entre nous rentreront avec 3 ou 4 kilos en trop…
Samedi L’hôtel se réveille au son des « Joyeux anniversaire Sylvain ! », 40 ans au compteur du coach des sprinteurs/sauteurs (et un brin de sagesse en plus ?). Départ à 9h45 de l’hôtel pour se rendre à la première séance d’entraînement sur piste. Le ciel se dégage et le soleil pointe le bout de son nez, si bien que nous abordons déjà nos premières marques de bronzage. Au stade nous partageons la piste avec des groupes d’entraînement venus d’Allemagne : une organisation parfois problématique mais il est tout de même sympathique de voir un peu de monde. L’après-midi les demi-fondeurs repartent au parc et les autres « jouent » au trampoline (Une séance de proprioception de l’espace, disent les coachs de sprint. Du glandage oui ! répliquent les demi-fondeurs). La soirée se termine par une « soirée fossiles » initiée par Sophie (heureux celui qui pourra comprendre de quoi il en retourne !)
Dimanche Tout comme samedi matin, nous sommes repartis nous entraîner à 9h45 au stade de Bellaria (sauf les marcheurs qui ont déjà effectué leur séance hebdomadaire, dixit Sylvain, mais qui sont quand même meilleurs que le demi-fond, dixit Gérard). De retour à l’hôtel, un menu de Pâques un peu spécial nous attendait à table : entrée froide suivie d’une dégustation de pâtes, puis d’agneau, de raie et enfin d’un tiramisu. C’est donc le ventre bien rempli que nous sommes repartis pour notre deuxième entraînement quotidien à 16h. Run&bike pour les demi-fondeurs et plage (pour changer un peu) pour le reste. Le soir au restaurant, le lapin de Pâques est passé pour les athlètes et a laissé un œuf en chocolat noir géant d’un mètre de haut.
Lundi Les demi-fondeurs ont été les premiers à se lever à 7h pour un footing matinal dans le parc. Au retour, il a fallu faire attention de ne pas réveiller les décathloniens qui dormaient encore : pas de séance pour eux aujourd’hui, mais plutôt une initiation foot/pétanque sur la plage, occupés à embêter le groupe à Sylvain qui travaillait AVEC ARDEUR (tout comme les lanceurs qui en étaient à leur deuxième séance du matin) L’après-midi, il a fallu se rendre à pied au stade sous un soleil de plomb. Pour remarquer une fois arrivés que le concierge n’avait pas fait son boulot et que nous étions enfermés à l’extérieur : les coachs ont alors du improviser pour que les séances prévues aient tout de même lieu. Après le dîner, Anne et Armelle nous avaient préparé une soirée jeux sous forme d’un Pictionnary géant (le demi-fond s’est imposé, comme à son habitude). Ambiance bonne enfant et très bruyante; Dany, Sylvain et Patricia nous ont démontré tous leurs talents de dessinateurs.
Mardi C’est à nouveau sous un grand soleil que nous sommes partis à l’entraînement le matin, laissant derrière nous le groupe à Sylvain qui n’avait pas jugé bon de se lever. Après les combinards, c’est au tour des sprinteurs de se croire en séjour all inclusive petit-déj au lit. A midi, Sophie a du déplorer l’absence du charmant Simonêêê qui n’était pas là pour la servir. Après une sieste express, il était à nouveau l’heure de repartir s’entraîner. Force est de constater qu’ici le temps passe très vite. Yassmina s’est étonnée de voir le demi-fond s’échauffer en se lançant un Frisbee. La spécialiste en pétanque en a conclu que décidément, c’était une preuve de plus que « ce groupe ne fait vraiment rien ». Le soir après le repas, la moitié des athlètes s’est retrouvée à Bellaria chez le glacier en passe de devenir le nouveau QG du club – et de détrôner ainsi le mythique Sirocco.
Mercredi Pas d’entraînement matinal au programme, mais il a fallu se lever plus tôt pour partir à Rimini. L’occasion de parcourir le marché en long et en large à la recherche de bonnes affaires ! (Le groupe à Dany est resté s’entraîner au stade, les lanceurs en étaient déjà à leur 4e séance de la journée). Après le déjeuner, un petit jeu autour du règlement des Interclubs a été organisé. Les scores n’ont pas toujours été très concluants… Soulignons le médiocre résultat des coachs, qui avaient pourtant le règlement sur les genoux. Après cela, les choses sérieuses ont repris au stade et sur la plage. A la fin de l’entraînement, les coachs sont partis dîner au Sirocco, laissant la gestion de l’hôtel aux mains du redoutable Dany. A 20h tout le monde était au garde-à-vous devant sa chambre, prêt à aller se coucher dans le silence.
Jeudi Quelques gouttes de pluie sont tombées pendant notre entraînement au stade ce matin : le stage touche tout doucement à sa fin et le soleil semble vouloir repartir avec nous. L’après-midi une sortie à Saint Marin était prévue, ce qui a permis à certains d’acheter leurs derniers souvenirs avant le retour. A 21h, le coup d’envoi de la traditionnelle soirée bizuts a été donné par Yassmina. Au programme : sketchs, gages et chambres retournées ; une sorte de cadeau de bienvenue aux nouveaux venus en stage pour la première fois. La soirée a été ensuite prolongée jusqu’à plus de minuit avec musique et athlètes qui ont démontré que danser, c’était aussi leur dada.
Vendredi C’est péniblement que nous nous sortons des couvertures pour partir à notre dernier entraînement. La nuit a été plutôt courte et la fatigue s’est doucement accumulée tout au long de la semaine. Après le déjeuner, il est temps de refaire ses valises et de ranger un peu sa chambre. Certains en profitent pour aller manger une dernière glace à Bellaria, faire un dernier tour dans les magasins, bronzer une dernière fois à la plage ou au bord de la piscine. L’après-midi passe en somme assez vite, les valises sont montées dans la soute du bus avant d’aller dîner un peu plus tôt que d’habitude à 18h30. Une fois le repas terminé, nous disons au revoir au personnel de l’hôtel et nous nous rendons au bus. Le voyage a duré un peu moins longtemps qu’à l’aller, les Sarrebourgeois sont arrivés à 6h45 et les Sarregueminois à 7h20 sous un ciel gris, gris, gris… Vivement le prochain départ pour l’Italie !
A TOUS CEUX QUI ONT PRIS DES PHOTOS MERCI DE PRENDRE CONTACT AVEC JENNY SI VOUS VOULEZ LES METTRE A DISPOSITION SUR LE SITE PHOTOS!
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